Bergeret à la STN, 30 août 1783
Bordeaux, le 30 août 1783
Messieurs,
Pour répondre à celle dont vous m’avez favorisé le 19 du courant, je vous dirai que vu et considéré les entraves qui s’opposent à notre correspondance, que [sic] j’ai pris le parti de donner ma commission pour les Portraits des rois de France, etc., à un libraire de Lyon. En attendant que cet ouvrage se passe, j’essaierai de vous demander par la voie dont vous vous servirez sous une augmentation de 15 pour cent pesant les articles suivants :
Je crois que les articles mentionnés ci-dessus formeront un ballot de poids. Il serait inutile vu l’augmentation des frais de voiture de l’expédier s’il ne devait pas m’être rendu avec célérité. Ainsi, messieurs, je vous prie de prendre garde à cela parce que l’inconvénient ne pourrait retomber que sur vous. J’ai l’honneur d’être sincèrement, messieurs,
Votre très humble et très obéissant serviteur,
Bergeret.
Il m’a été impossible jusqu’à ce jour de vaquer au règlement de votre compte. Ce sera, si vous le voulez bien, pour le mois prochain.