Marseille le 27 octobre 1783

MM de la Société

de Neufchatel

Messieurs,

Par votre lettre du 1er septembre vous me portez la facture de 3 balles montant ensemble à la somme de neuf cent soixante six livres dix sept sous dont je n'ai aucune nouvelle et desquelles je suis en peine.  Par votre même lettre vous me dîtes que vous allez m'expédier les 50 Histoires politique, 10 vols., avec les figures et les cartes, je les attends avec impatience. Ces articles me manquant, je vous prie d'y joindre:

Marseille le 25 janvier 1782

MM. de la Société

                        de Neuchatel

Messieurs,

Il y a longtemps que notre correspondance languit.  Ce n'est pas que je manque d'articles; mais, comme il y a quelques suites, je suis bien pris que vous n'ayez rien dit depuis le 28 septembre derjour de ma lettre et de mon règlement de compte.

A Marseille le 25 février 1778

MM. de la Société typographique Neuchatel

Messieurs,

Le peu de temps que le courrier me donne ne me permet pas de m'étendre beaucoup.  J'ai reçu l'honneur de la votre du 15 du courant.

Besançon ce 3 octobre 1783

            Messieurs

                                                                                              Loudun, le 16 octobre 1776

Messieurs,

Besançon 18 mai 1781

Messieurs

Pour répondre à l'honneur de la votre du 29 avril, j'ai celui de vous dire que j'ai reçu aujourd'hui un ballon de vous contenant Ann[ales] de la vertu, Tableau, Pièces intéressantes, total de facture L. 83.  Vos ordres pour me faire expédier ce ballon sans delai sont bien mal executés et en juger par les dates.

Il vous plaira me faire expédier sitôt la présente recue

26 pour 24 Tableau de Paris, octavo, 2 vol.

13 pour 12 Annales de la vertu, octavo, 3 vol.

                                                                                              Loudun le 22 mai 1776

Messieurs,

Ms. De la Société Typographique de Neuchâtel                        Montpellier, le 10 juin 1782

Messieurs,

Ms. de la Société Typographique de Neuchâtel                        Montpellier, le 24 avril 1775                                                                                               

Monsieur,

On vient de m’assurer que toutes les lettres qui ne sont pas affranchies jusqu’à Pontarlier ne vous parviendront pas ainsi en voici une troisième que je crois qui contient celles qui sont ou doivent avoir resté à la poste.  Je l’affranchis pour que [mots illisibles] parvienne en droiture.

M. de la Société Typographique de Neuchâtel                        Montpellier, le 14 avril 1775

Monsieur,