Discours pour une femme protestante
Ms. de la Société Typographique de Neuchâtel Montpellier, le 24 avril 1775
Monsieur,
On vient de m’assurer que toutes les lettres qui ne sont pas affranchies jusqu’à Pontarlier ne vous parviendront pas ainsi en voici une troisième que je crois qui contient celles qui sont ou doivent avoir resté à la poste. Je l’affranchis pour que [mots illisibles] parvienne en droiture.
Ms. De la Société de Neuchâtel Montpellier, le 4 mars 1775
Messieurs,
Ms. De Neuchâtel Suisse Montpellier le 11 mai 1773
Messieurs,
M. Malherbe, Loudun
Mende, 22 septembre 1772.
Monsieur,
Loudun le 8 juillet 1775
Messieurs,
Loudun le 6 janvier 1774
Messieurs,
M. Malherbe l’aîné, étant en cette ville à vendre mes livres, m’a parlé de vous et communiqué vos catalogues. Après les avoir examinés, j’en ai tiré le mémoire ci-joint. Si vous voulez le remplir au mieux, et m’en faire l’expédition, ce sera un commencement d’affaires qui pourra être suivi de plus. Je ne veux courir aucun risque. S’il y en avait à l’entrée et sortie à Lyon, j’aimerais mieux m’en passer, ainsi je laisse ceux à votre prévoyance.