9. Lair to the STN, April 18, 1774
Messieurs de la Société typographique de
Neuchatel Blois, le 18 avril 1774
Messieurs,
Messieurs de la Société typographique de
Neuchatel Blois, le 18 avril 1774
Messieurs,
Nîmes ce 12 octobre 1783
Monsieur,
En réponse à l’honneur de votre lettre du 27 du mois dernier je vous rappellerai que vous m’avez fourni le 30 du mois de janvier 1777 un exemplaire de l’Encyclopédie en 28 volumes in folio pour lequel je vous compte 650 livres. Voyez mon compte pour vous en convaincre. Ce n’est donc point celle in-4 que je vous demande. S’il était possible d’en avoir un second comme je le crois, vous auriez la bonté de m’en donner [fragment effacé] prix avant de la faire expédier.
A Marseille le 16 juin 1777
MM. de la Société de Neuchatel
Messieurs,
Je viens de recevoir le ballot des 5 tomes 7 Description des Arts, montant à L. 50 sur laquelle comme il y a L. 4-13-0 de faux frais de Neuchatel à Lyon, de sorte que je vous ai credité de L. 45-7-0 ce qui joint aux L.116-19-0 que je vous devais pour votre envoi du mois de mars dernier forme la somme de cent soixante deux livres, dont vous trouverez ci-inclus mon billet ci-inclus.
A Marseille le 30 octobre 1776
MM. de la Société typographique de Neuchatel
Messieurs,
Quoique ma lettre du 10 juillet dernier ait resté sans réponse, je ne doute point que vous ne l'ayez reçue. Cette lettre contenait un relevé de notre compte courant, suivant lequel je vous étais débiteur pour solde, y compris l'envoi du 26 mars que je n'ai reçu que le 30 juillet dernier de…………………………………………………………...L. 112-1-3
Depuis lors j'ai payé pour les frais de cette balle de Neuchatel à Lyon, ainsi que nous
Neuchâtel
MM. de la Société
Dijon 23 septembre 1777
Messieurs,
MM. les directeurs de la Société typographique à Neuchâtel
Dijon le 15 février 1777
Messieurs,
Je viens de parcourir un de vos catalogues où j’ai choisi différents articles que je vous prie de me faire parvenir le plus tôt possible.
Bergeret à la STN, 14 novembre 1778
Bordeaux, le 14 novembre 1778
Messieurs,
Je suis fâché que vous ne puissiez accepter les conditions proposées à monsieur votre commis voyageur. Je m’en tiendrai pour le présent aux articles suivants que je vous prie d’adresser à MM. Revol et Compagnie à Lyon, avec prière aux dits sieurs de soustraire la Bible à la chambre syndicale de Lyon, auxquels il faudra, je vous prie, aussi recommander de l’adresser à M. Chaurou à Toulouse.