121. Revol, 22 juillet 1784, Lyon
Lyon, le 22 juillet 1784
Messieurs,
Lyon, le 22 juillet 1784
Messieurs,
Société Typographique de Neuchâtel
Lyon, le 18 avril 1783
Monsieur,
Toutes les tracasseries qu’on a faites à notre Sieur Revol lors de la saisie de ces balles lui ont occasionné une maladie très dangereuse de laquelle il n’est pas encore rétablit. Sitôt qu’il sera en état de vous répondre, il satisfera en plein à tous vos souhaits. L’exemplaire pour M. [Gravier] a été expédié [hier]. On a eu soin de faire recouvrir les volumes pour qu’ils fussent en bon état. Nous avons l’honneur d’être très parfaitement,
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 18 mars 1783
Messieurs,
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 20 janvier 1783
Messieurs,
Nous nous empressons de répondre à l’honneur de votre dernière, qui nous donnerait tous les regrets possibles, si nous avions à nous reprocher les plaintes continuelles que nous avez faites. Nous sentions bien vivement les torts préjudiciables que vous causaient les retards de vos balles, mais nous nous y étions forcés par nécessité, et dont les détails ne peuvent s’écrire.
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 6 janvier 1783
Messieurs,
Nous allons répondre catégoriquement à votre dernière du 31 que nous sommes au désespoir que notre négligence vous ait fait perdre toutes vos pratiques. Ce n’a pas été nos intentions. Pour y remédier, vous prions très instamment de ne plus rien nous adresser, d’autant plus que par notre nouvelle société, nous ne voulons plus faire de commerce illicite, qui nous expose tous les jours à des réprimandes et à des sottises de ceux que nous avons cherché à obliger.
M. de la Société de Neuchâtel
Lyon, le 30 mai 1782
Messieurs,
Nous vous avons prévenu en différentes fois que la balle D n°326 était dans nos magasins à votre disposition, attendu l’absence de M. Decharny. Suivant vos intentions, nous l’avons expédiée hier à l’adresse indiquée dans la chère vôtre du 21 mai. Elle sera rendue à Saint-Denis sans passer par Paris.
Messieurs de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 19 mai 1782
Messieurs,
M. de la Société de Neuchâtel
Lyon, le 3 avril 1782
Messieurs,
Nous ne pouvons pas vous accuser réception lorsque nous n’avons rien reçu, ce qui est le motif de ce silence. Par la présente, vous accusons la réception et l’expédition des suivantes : PL 62, 63, 64, 72 ; BP 53 ; R 57 ; VS 58 ; W 73, 74, 75. Toutes ces balles nous sont parvenues ensemble, quoique nous ayez avisé du départ par 3 lettres différentes du 21 février, 28 février et 9 mars. Celle PL 97 ne nous est pas encore parvenue, ni celle R 87.
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 25 janvier 1782
Messieurs,
Nous devons réponse à plusieurs de vos lettres. N’ayant rien de nouveau ni de satisfaisant à vous annoncer, nous avons différé jusqu’à ce jour pour vous annoncer l’arrivée et le départ des balles : PL 312, W 298, CL 289, D 278. Cette dernière a furieusement retardé. Nous en ignorons la cause.
MM. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 12 novembre 1781
Messieurs,