9. Revol, 10 octobre 1778, Lyon
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 10 octobre 1778
Messieurs,
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 10 octobre 1778
Messieurs,
Besançon ce 1er juin 1785
Messieurs
Je crois devoir vous prévenir que les ballots adressés Monsieur Faivre libraire à Pontarlier, malgré toutes mes reclamations, ne me sont point parvenu entièrement. Après l'avis qu'il a reçu de votre maison, il m'écrivit qu'il ne pouvait les faire entrer tous à la fois, mais qu'il m'expédierait par pacquet, en conséquence il m'envoya un petit ballot contenant:
1 Histoire ancienne
1 " romaine
1 " des empereurs
Loudun, le 6 juin 1778
Messieurs,
Je vous remercie de toutes vos honnêtetés que me fait part votre lettre 24 mai au sujet du deuil qu’il a plu à la providence m’envoyer en retirant d’avec nous mon père. Nous allons régler nos intérêts, mon frère et moi, notre mère nous laissant à peu près tout le bien fonds etc.
Loudun, le 24 février 1778
Messieurs,
Loudun, le 17 février 1778
Messieurs,
Loudun, le 4 novembre 1777
Messieurs,
J’ai à répondre à vos lettres 14 et 26 du passé par la première. J’ai reçu la lettre incluse de Mayenfelz. Je vous en remercie. Il faut laisser mourir la mère du sieur Endrely qui est plus qu’octogénaire pour voir qu’en espérer. M. de Salis doit m’instruire du suivi. Si c’est à votre adresse vous m’en ferez passer, s’il vous plaît, ses dépêches.
Loudun le 15 octobre 1777
Messieurs,
Loudun 27 août 1777
Messieurs,
Je suis favorisé de votre lettre 14 courant, me remettant facture d’une petite expédition faisant partie de ma dernière demande que vous énoncez expédiée par adresse de M. Couret, M. n°200. Je l’attendrai et tout vérifié, je vous en rendrai raison et bon compte. Le tout monte à L.282-12-0. Vous ne faites pas le rabais de 5%…
14-3-0_
Besançon 26 octobre 1780
MM. de la Société
Neuchatel
Messieurs
Il vient de m'être remis par M. Lepagnez, cadet la lettre que vous lui avez adressée du 19 courant, et me charge d'y répondre, c'est pourquoi je vous prie de m'expédier les articles donc note ci-contre et d'y joindre les siens sans autres précautions, en adressant à M. Pion l'aîné de Pontarlier pour me faire parvenir comme du passé.
Mrs de la Société Typographique de Neuchâtel
Poitiers 3 décembre 1777
Messieurs,