Besançon ce 1er juin 1785

            Messieurs

            Je crois devoir vous prévenir que les ballots adressés Monsieur Faivre libraire à Pontarlier, malgré toutes mes reclamations, ne me sont point parvenu entièrement.  Après l'avis qu'il a reçu de votre maison, il m'écrivit qu'il ne pouvait les faire entrer tous à la fois, mais qu'il m'expédierait par pacquet, en conséquence il m'envoya un petit ballot contenant:

1 Histoire ancienne

1     "   romaine

1     "   des empereurs

Besançon ce 17 novembre 1784

            Messieurs

            J'ai fait partir mardi dernier le ballot venant de Paris de M. Poinçot à M. Pion commissionnaire à Pontarlier [avec] prière de vous le faire passer aussi promptement qui lui sera possible, j'ai fait suivre en renforcement la somme de L. 16 que j'ai payé de Paris ici.

[21] mars 1783

Neuchâtel

MM de la Société

            typographique

            Messieurs

            J'ai toujours de nouveau remerciements à vous faire, soit pour vos offres de service, soit pour votre complaisance d'avoir inséré dans votre catalogue les articles qui me concernent.

Ms. de la Société Typographique de Neuchâtel                        Montpellier, le 24 avril 1775                                                                                               

Monsieur,

On vient de m’assurer que toutes les lettres qui ne sont pas affranchies jusqu’à Pontarlier ne vous parviendront pas ainsi en voici une troisième que je crois qui contient celles qui sont ou doivent avoir resté à la poste.  Je l’affranchis pour que [mots illisibles] parvienne en droiture.

M. de la Société Typographique de Neuchâtel                        Montpellier, le 14 avril 1775

Monsieur,

Ms. De la Société de Neuchâtel                                                Montpellier, le 4 mars 1775

Messieurs,

Ms. De la Société typographique Neuchâtel                        Montpellier, le 18 octobre 1773

Messieurs,

                                                                                              Loudun, 14 avril 1774

Messieurs,

Ma lettre 18 mars vous sera sans doute parvenue.  Privé de vos réponses, je vous la confirme et attends de savoir si la solde de notre compte sera d’accord à ma note par laquelle vous me redevez L.57-12-0.  Si vous ne me faites aucun envoi des articles que je vous invitais de me faire passer, faites remettre, je vous prie, cette solde par vos banquiers à M. Vallienne, banquier à Paris. 

Couret à la STN, [mai 1774]