7. Guillon, 26 août 1773, Lyon
Messieurs de la Société Typographique de Neuchâtel
Lyon, le 26 août 1773
Messieurs,
Messieurs de la Société Typographique de Neuchâtel
Lyon, le 26 août 1773
Messieurs,
Beaucaire, le 20 juillet 1773
Messieurs,
Nîmes ce 24 octobre 1788
Messieurs,
En réponse à votre lettre du 28 août dernier, je viens de recevoir les deux balles livres qui vous a plu me faire expédier par le canal de Mademoiselle Bruiset de Lyon qui joint aux quatre articles remis par M. Claude Verdier de notre ville. Et mes deux billets, chacun de 120 livres, une fois remis par Messieurs André, au moyen desquels nos comptes se trouveront réglés et nous serons respectivement quittes, veuillez avoir la bonté d’écrire un mot à ces Messieurs et m’en prévenir.
Nîmes ce 16 août 1788
Messieurs,
On m’a fait demande de douze Histoire des troubles des Cévennes en trois volumes in-douze avec une ou deux petites cartes de cette province si vous pouviez m’en procurer 26 pour 24 je vous prierai d’avoir la bonté de le joindre au [fragment effacé] envoi que vous devez me faire pour lesquels je vous fournirai un effet sur Lyon ou Paris.
Messieurs,
Si vous n’avez pas reçu les deux balles que vous avez réclamées par une de vos lettres que j’ai en mains, elles ne sont point retenues par retard et par ma faute ; et s’il est vrai qu’elle soit rendue dans vos magasin, veuillez m’en accuser la réception s’il vous plaît, étant votre serviteur
Buchet
Nîmes ce 6 août 1788
Messieurs,
Ayant reçu la dernière que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire en foire de Beaucaire, je n’ai pu m’assurer de la remise de deux balles que le commissionnaire vous a fait passer ci-après mon retour à Nîmes. Or vous pouvez dès ma lettre reçue le réclamer de chez M. Dufard de Genève s’il ne vous les a fait expédier et lui rembourser les frais.
Messieurs,
Vous devez avoir reçu par M. Duffard les deux balles qui vous furent expédiées suivant l’avis que j’eus l’honneur de vous adresser. Je vous prie de m’en accuser le bonne réception et me faire envoi de ce qui doit me revenir. J’ai lieu de croire que vous ne me refuserez pas cette légère satisfaction, ayant l’honneur d’être avec une parfaite considération,
Messieurs,
Votre très humble serviteur
Buchet
Nîmes ce 4 juillet 1788
Nîmes, ce 18 mai 1788
Messieurs,
Suivant vos ordres, il fut expédié il y a 15 à 18 jours deux balles marquées S.T. No 19 et 20 contenant les articles de la facture que vous verrez en l’autre part à l’adresse de M. Dufart libraire imprimeur de Genève pour le garder à la disposition de M. Louvard de Lunel. Veuillez sans qu’il soit question de moi écrire à cette maison pour vous assurer si elles lui sont parvenues et m’en prévenir afin de lui faire donner des ordres pour vous les adresser contre vos frais qui vous plaira lui rembourser.
Nîmes ce 20 février 1785
Messieurs,
A l’époque de mon interdiction, à laquelle je dois tous mes malheurs, je devais en capital 30 000 livres qui joint joint [sic] à l’intérêt du 5 pourcent que j’ai supporté pour le retard de quatre années se portaient à 36 000 livres, dont le principal a été payé et ne suis arriéré que de l’objet des intérêts qui me gênent dans le moment mais que je paierai moyennant du temps que j’ai déjà obtenu de la majeure partie de mes correspondants à qui je dois.
Messieurs de la Société typographique de Neuchâtel
Nîmes, ce 29 janvier 1788
Messieurs,
Suivant vos désirs, je viens d’écrire à M. Revol et compagnie commissionnaire de Lyon pour l’engager à recevoir vos balles et se charger de vous le faire parvenir ainsi que celle que vous devez m’expédier sans événements. Dès la réception de sa réponse vous recevrez le contenu si elle est relative à nos intérêts respectifs ainsi que j’ai lieu de le croire étant très parfaitement, Messieurs,
Votre très humble serviteur