Faivre

100. Faivre, 14 novembre 1785, Faivre

Pontarlier, le 14 novembre 1785

Messieurs,

Je vous envoie ci-joint une lettre que j’ai reçue de Monsieur Pechey, commissionnaire à Besançon. Je n’ai aucun avis de ce qu’il me demande pour Monsieur Desauges de Paris. En attendant de plus amples nouvelles, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.

Faivre

98. Faivre, 5 septembre 1785, Pontarlier

Pontarlier, le 5 septembre 1785

Messieurs,

Madame Junet est venue me demander de l’argent de votre part. Je lui ai répondu que je ne paierais que par voie de justice parce que, si j’avais pu vous entreprendre de procédure moi-même, j’aurais commencé le premier, parce que suivant la convention faite aux Verrières, j’ai fait des frais de louer un magasin pour y loger vos marchandises, et vous avez manqué à votre engagement. Cela me fera plaisir que notre affaire se finisse.

94. Faivre, 14 juillet 1785, Pontarlier

Pontarlier, le 14 juillet 1785

Messieurs,

Je viens de recevoir un petit ballot de Troyes en Champagne de Monsieur Bruzard de Mauvelain dans le plus mauvais état [plié ?]. C’est destiné pour vous. Dîtes-moi en réponse si vous voulez en disposer ici ou si je dois vous l’expédier à Neuchâtel. Etant ici, il sera déjà passé en France. Monsieur Chaboz pourra le prendre. En attendant, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.

Faivre

Toutes vos balles sont arrivées à leur destination.

Pages