104. Faivre, 11 août 1787, Pontarlier
Pontarlier, le 11 août 1787
Messieurs,
Pontarlier, le 11 août 1787
Messieurs,
Pontarlier, le 28 janvier 1786
Messieurs,
J’ai remis à Madame veuve Junet la somme de trois cents livres suivant notre convention, et pour solde de tout compte suivant votre lettre, et Les Ecoles du bonheur par cet arrangement que vous deviez me renvoyer restent à votre compte.
Pontarlier, le 5 décembre 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 21 novembre 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 14 novembre 1785
Messieurs,
Je vous envoie ci-joint une lettre que j’ai reçue de Monsieur Pechey, commissionnaire à Besançon. Je n’ai aucun avis de ce qu’il me demande pour Monsieur Desauges de Paris. En attendant de plus amples nouvelles, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 5 septembre 1785
Messieurs,
Madame Junet est venue me demander de l’argent de votre part. Je lui ai répondu que je ne paierais que par voie de justice parce que, si j’avais pu vous entreprendre de procédure moi-même, j’aurais commencé le premier, parce que suivant la convention faite aux Verrières, j’ai fait des frais de louer un magasin pour y loger vos marchandises, et vous avez manqué à votre engagement. Cela me fera plaisir que notre affaire se finisse.
Pontarlier, le 15 août 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 4 août 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 1 août 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 14 juillet 1785
Messieurs,
Je viens de recevoir un petit ballot de Troyes en Champagne de Monsieur Bruzard de Mauvelain dans le plus mauvais état [plié ?]. C’est destiné pour vous. Dîtes-moi en réponse si vous voulez en disposer ici ou si je dois vous l’expédier à Neuchâtel. Etant ici, il sera déjà passé en France. Monsieur Chaboz pourra le prendre. En attendant, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Toutes vos balles sont arrivées à leur destination.