Pontarlier, le 11 juillet 1785
Messieurs,
La présente vous apprendra l’arrivée de la balle de Monsieur Chaboz de Dôle, et qui partira demain pour Besançon suivant les ordres de Monsieur Chaboz. Je vous en donne avis afin de vous diriger en conséquence. En attendant, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 6 juillet 1785
Messieurs,
Les balles de Madame veuve Charmet sont enfin arrivées ici en bon port depuis cette nuit. Je vais lui expédier demain par premier char qui partira.
La balle de Monsieur Chaboz passera aussi demain. Il me mande de lui expédier à Besançon. Je suivrai ses ordres. Je vous fournirai la note de ce que j’ai déboursé pour les balles de Madame Charmet et dont vous me ferez état sur ce que je vous dois. En attendant j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 6 juin 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 7 mai 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 25 avril 1785
Messieurs,
C’est aujourd’hui que je me rends aux Verrières pour faire passer la montagne à vos balles pour Monsieur Pomaret à Ganges dans le Languedoc. Ainsi j’espère que tout ira bien. Les passages sont ouverts par la fonte des neiges, du moins elles ne sont plus si abondantes. Je vous préviens parce que si vous avez d’autres expéditions à faire, tant pour Paris et autres endroits, vous pourrez le faire. En attendant, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 31 mars 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 21 février 1785
Messieurs,
Pontarlier, le 27 janvier 1785
Messieurs,
J’ai à vous dire par la présente que j’ai reçu deux balles libry pour Madame veuve Charmet, et que les autres seront ici demain ou après. La balle N°9 est ici avec une autre qui partiront demain matin pour Besançon.
Pontarlier, le 23 janvier 1785
Monsieur,
Pontarlier, le 27 décembre 1784
Messieurs,
Je n’ai pas pu répondre à l’honneur de votre dernière pour vous dire que Monsieur Mauvelin doit avoir reçu ses balles depuis longtemps. J’étais à Besançon cette semaine dernière. Monsieur Pechey, qui les a chargées pour Troyes, m’a dit les avoir expédiées et arrivées à leurs destinations. Elles ont fait L. 21-0-2 de frais, rendues de Neuchâtel aux Verrières. Vous connaissez le passage.