60. Faivre, 4 mars 1784, Pontarlier
Pontarlier, le 4 mars 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 4 mars 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 23 février 1783 [1784]
Messieurs,
Fait pour répondre à l’honneur de la vôtre, je vous fais mes remerciements à votre attention pour moi. Je remettrai demain ou après demain à Monsieur Gloriot une partie de votre somme. J’attends mon épouse qui a des fonds et qui a été retenue par les neiges. Sans cela j’aurais déjà remis à Monsieur Gloriot de l’argent.
Pontarlier, le 3 janvier 1783 [1784]
Messieurs,
J’attends le retour de mon épouse qui sera dans la semaine prochaine pour vous faire passer les fonds. Monsieur Gloriot m’en a parlé ainsi. Si je ne vous fais pas passer le tout, ce sera la majeure partie.
Pontarlier, le 20 décembre 1783
Messieurs,
Si votre balle est encore aux Verrières Suisse, je la ferai entrer cette semaine. Je me suis abouché avec des gens de la Ferme pour une somme, et j’ai la main présentement pour entrer. Vous pouvez m’expédier ce que vous avez de pressant avant les neiges.
A Pontarlier, le 12 novembre 1783
Messieurs,
Mon épouse vient de m’écrire qu’elle m’envoyait par le carrosse de Luxeul la somme de L. 1000. Sitôt reçue, je vous ferai passer votre dû avec le retard comme de juste.
Pontarlier, le 30 octobre 1783
Messieurs,
. Un paquet libry pour la Société typographique de Neuchâtel. On donnera au voiturier cinq sols pour le remboursement.
Faivre, libraire.
Pontarlier, le 27 octobre 1783
Messieurs,
Mon épouse est partie lundi dernier poursuivre ses missions comme à l’ordinaire. Dans quinze jours elle me fera passer tous les fonds qu’elle aura. Du moment que je les aurai reçus, je remettrai à Jean Régnaud le courrier, votre somme avec les frais et retard.
Pontarlier, le 6 octobre 1783,
Messieurs,
Comme mon mari est absent, je ne puis avoir l’honneur de vous donner satisfaction de ce que vous lui mandez, mais il doit être de retour samedi. Il aura l’honneur de vous répondre pour lundi prochain. Je vous prie de me croire avec une parfaite considération, Messieurs, votre très humble servante.
Femme Faivre
Pontarlier, le 4 octobre 1783
Messieurs,
Jusqu’à présent je n’ai pas pu trouver qui que ce soit pour faire passer votre balle qui est aux Verrières, que des gueux d’ivrognes où il n’y a pas à se fier sur le passage.
Pontarlier, le 26 juillet 1783
Messieurs,
Puisque vous ne pouvez pas trouver de voiture pour me faire passer cette balle en droiture [en voiture ?] aux Verrières, vous pouvez l’expédier comme vous jugerez à propos, sur la fin de la semaine qui vient. Je serai à Neuchâtel où je chargerai moi-même les autres. En attendant le plaisir de vous voir, je suis très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre