Pontarlier, le 21 juillet 1783
Messieurs,
En attendant que j’envoie ma voiture chercher les balles de L’Ecole du bonheur, je vous prie de m’expédier une balle qui contiendra 250 [ ?] exemplaires, et de garder les autres chez vous jusqu’à mon arrivée à Neuchâtel. Vous adresserez la dite balle chez Monsieur Michaud commissionnaire aux Verrières Suisse.
Pontarlier, le 11 septembre 1782
Messieurs,
Je vous prie de me dire en réponse si c’est par chez vous qui avait imprimé la Chimie de Maquer 3 vol. [in] 8°. Si c’est votre maison, j’en prendrai un certain nombre et vous voudrez bien me dire le juste prix en feuille. En attendant, j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 29 janvier 1781
Messieurs,
Un particulier de Saint-Claude à qui j’ai remis le catalogue que vous m’avez envoyé dernièrement, me charge de vous écrire et vous demander deux volumes, et de vous en payer le montant à qui vous m’ordonnerez, en vous priant de me le faire passer le plus tôt possible, et suis très sincèrement, Messieurs, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre, libraire
Pontarlier, le 2 octobre 1780
Messieurs,
J’ai reçu votre catalogue que je remettrai au particulier qui me l’a demandé.
Pontarlier, le 29 septembre 1780
Messieurs,
Un particulier de cette ville désirerait avoir votre catalogue pour y faire choix de quelques articles. Je vous prie en conséquence de me le faire passer par le retour de ce courrier. En attendant j’ai l’honneur d’être très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur. Faivre, libraire.
Pontarlier, le 27 juillet 1780
Messieurs,
Pour satisfaire à votre demande, je vous envoie ci-joint la copie de deux lettres, l’une de la chambre syndicale et l’autre de Monseigneur le garde des sceaux. Vous avez par la présente ce qu’elle apporte, et prenez des précautions au sujet, et suis très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Copie, Besançon, le 21 juillet 1780
Monsieur,
Pontarlier, le 24 juillet 1780
Messieurs,
Pontarlier, le 22 mai 1780
Messieurs,
Pontarlier, le 22 décembre 1777
Messieurs,
Je vous envoie ci-joint une note qui vient de me parvenir. Je vous prie au retour du courrier de me rendre une réponse au sujet.
Vous pourriez m’instruire de même pour la même personne combien coûte le Journal économique de Berne, et combien il fournit de cahiers dans une année, et combien cela coûte. En attendant l’honneur de votre réponse, je suis très sincèrement, Messieurs, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre.
Pontarlier, le 2 octobre 1777
Messieurs,