MM. de Neuchâtel
Lyon, le 2 mars 1781
Messieurs,
Ci-joint la note que nous demandez. Vous savez que nous avez fait remettre onze exemplaires par Monsieur Duplain, et qu’en avons reçu 50 incomplets, ensemble 61 exemplaires qu’avions à votre disposition.
La traite que vous a fournie notre ami Chaurou de L.170-2-0 est bonne et valable. si nous l’envoyez acquittée, vous en créditerons du montant.
Messieurs de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 28 octobre 1780
Messieurs,
MM. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 13 août 1780
Messieurs,
Messieurs de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 25 mars 1780
Messieurs,
Messieurs de la Société A Neuchâtel
Lyon, le 8 mars 1780
Messieurs,
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 14 octobre 1779
Messieurs,
MM. de la Société A Neuchâtel
Lyon, le 29 août 1779
Messieurs,
M. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 30 juin 1779
Messieurs,
M. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 30 mai 1779
Messieurs,
Nous avons différé de répondre à l’honneur de la chère vôtre en ce que nous voulions vous envoyer une note détaillée du dommage qu’il y a dans les balles qu’avons reçues.
M. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 21 novembre 1778
Messieurs,
Nous sentons ainsi que vous combien il est désagréable d’essuyer du retard. Celui que vos balles ont éprouvé jusqu’à présent ne provient nullement de notre faute. C’est de quoi vous devez être certain.
M. Malherbe nous a accusé réception des balles que lui avons expédiées.