MM. de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 19 décembre 1780

Messieurs,

Messieurs de la Société A Neuchâtel

Lyon, le 8 mars 1780

Messieurs,

M. de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 30 mai 1779

Messieurs,

Nous avons différé de répondre à l’honneur de la chère vôtre en ce que nous voulions vous envoyer une note détaillée du dommage qu’il y a dans les balles qu’avons reçues.

MM. de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 23 mai 1779

Messieurs,

                  Nous référant au contenu de nos dernières, nous ne pouvons encore vous donner note exacte de ce qui s’est trouvé endommagé dans vos balles. Nous présumons que le mal ne sera pas aussi grand que nous l’avons cru dans le [principe] en les déballant.

M. de la Société Neuchâtel

Lyon, le [6?] décembre 1778

Messieurs,

Nous recevons à cet instant l’honneur de votre lettre [mot illisible] nous en recevons une de M. Pion de Pontarlier en date du premier.

Par notre dernière du 21 passé, vous avions prévenus qu’avions reçu les 4 balles 133, 135, 136 et 139 franco, moyennant un reçu au voiturier, et sans avis de M. Pion.

M. de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 21 novembre 1778

Messieurs,

Nous sentons ainsi que vous combien il est désagréable d’essuyer du retard. Celui que vos balles ont éprouvé jusqu’à présent ne provient nullement de notre faute. C’est de quoi vous devez être certain.

                  M. Malherbe nous a accusé réception des balles que lui avons expédiées.

MM. de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 10 octobre 1778

                  Messieurs,

M. de la Société Typographique De Neuchâtel

Lyon, le 19 août 1778

                  Messieurs,

Société typographique de Neuchâtel

                                                                                  Montpellier, le 27 juillet 1787

Messieurs,

Neuchâtel

                                                                                              Montpellier, le 2 août 1784

Messieurs,