Duplain, M. (Lyon) (libraire)
Messieurs de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 26 février 1780
Messieurs,
Nous attendons de jour en jour notre Sieur Revol et nous croyons qu’en reçu de sa présence il ne tardera pas huit jours au plus. Sitôt son arrivée, il aura l’honneur de répondre lui-même aux chères vôtres.
Messieurs de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 9 janvier 1780
Messieurs,
Le silence dans lequel nous sommes restés jusqu’à présent sans répondre aux chères vôtres provient de ce que notre sieur Revol, lui seul chargé de vos affaires, est en voyage depuis un mois du côté de Bayonne, mais espérons que dans peu il sera de retour et qu’il aura l’honneur de vous écrire.
Messieurs de Neuchâtel
Lyon, le 5 novembre 1779
Messieurs,
M. de Neuchâtel
Lyon, le 13 septembre 1779
Messieurs,
En réponse à l’honneur des chères vôtres des premier et 9 septembre, nous aurons celui de vous prévenir qu’il nous a été présentés deux traites de votre maison qu’avons acceptées, et tout honneur sera fait à votre signature.
Votre traite première avait ordre de Thomasset…………………..L. 150
La traite de M. Favarger ordre de [Pettavel]……………………...L. 180
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M. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 11 juillet 1779
Messieurs,
Nous recevons en ce moment l’honneur de la chère vôtre du 7. Nous nous empressons d’y répondre, et de vous donner toute satisfaction. Ci-joint, copie du mémoire qu’avons envoyé. Vous y verrez nos raisons et nos défenses.
M. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 30 juin 1779
Messieurs,
M. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 21 mai 1779
Messieurs,
Notre lettre d’hier vous accusait la réception de douze balles que nous aviez annoncées par la chère vôtre du 28 avril et 7 courant, dans lesquelles vous nous aviez marqué que vous aviez donné ordre à M. Pion d’en suivre nos ordres.
M. de la Société à Neuchâtel
Lyon, le 10 avril 1779
Messieurs,
M. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 13 mars 1779
Messieurs,
Par le premier courrier, nous vous tirerons de peine sur le sort et retard des balles de Caen et d’Orléans.
La Société De Neuchâtel
Lyon, le 23 janvier 1779
Messieurs,
Nous avons reçu en leur temps vos lettres du 26 décembre dernier et 3 janvier, aussi, les balles qu’elles nous annonçaient. Tout va bien, et nous sommes, et devons être, de conformité.
Nous avons expédié les balles:
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