Jannet, M.

20. Faivre, 27 janvier 1772, Pontarlier

Pontarlier, le 27 janvier 1772

Monsieur,

De retour depuis hier soir, j’ai trouvé l’honneur de la vôtre où j’y réponds pour vous dire qu’à mon absence, j’ai prié Monsieur Jannet de m’expédier deux balles que j’avais chez lui. Il m’a expédié le tout ensemble. En outre se trouve la dite balle que vous demandez qui est aux Frambourg, qui entrera avec les miennes sous la permission que je viens de demander à Monsieur l’intendant. Ayez un peu de patience au sujet de Pontarlier, je vous la renverrai.

9. Faivre, 15 août 1771, Pontarlier

Pontarlier, le 15 août 1771

Faivre [sic]

Monsieur,

Je réponds à l’honneur de la vôtre pour vous dire que je n’ai rien reçu de Monsieur Demelune. Il me dit que cela regardait son frère, qu’il lui en parlerait à la première entrevue. Je viens de recevoir une lettre du sieur Cailer où il m’a fait une expédition à votre adresse d’une balle libry. Si elle vous parvient, je vous prie de me la faire expédier chez Jannet aux Verrières Suisse le plutôt possible.

7. Faivre, 22 juillet 1771, Pontarlier

Pontarlier, le 22 juillet 1771

Messieurs,

Je suis allé hier au Frambourg pour réclamer votre balle. Je n’ai pas trouvé Monsieur Petit : il était allé à trois lieues de là qui est à Jougne ; j’y retournerai demain matin.

Vous pouvez faire partir votre balle libry en deux paquets libry à l’adresse de Monsieur Jannet aux Verrières Suisse et je le[s] ferai prendre là ou je le[s] ferai passer à votre disposition sans acquit à caution.

Je serai à Neuchâtel dans peu de jour où j’aurai le plaisir de vous y voir et nous parlerons des affaires.

4. Faivre, 4 juillet 1771, Pontarlier

Pontarlier, 4 juillet 1771

Messieurs

Comme l’on m’a dit que vous ne vendiez vos S… [= Systèmes] de la n. [= nature] que sous le comptant, vous pouvez m’en faire partir 20 exemplaires, 2 vol. et sitôt parce que cela presse, et me dire à qui vous voulez que j’en fasse la remise de l’argent à raison de trois livres dix sols l’exemplaire, qui fait L. 70 argent de France que je remettrai à vos ordres.