Meuron / Philippin, MM. (Saint-Sulpice) (commissionnaires)
Société Typographique de Neuchâtel
Lyon, le 18 avril 1783
Monsieur,
Toutes les tracasseries qu’on a faites à notre Sieur Revol lors de la saisie de ces balles lui ont occasionné une maladie très dangereuse de laquelle il n’est pas encore rétablit. Sitôt qu’il sera en état de vous répondre, il satisfera en plein à tous vos souhaits. L’exemplaire pour M. [Gravier] a été expédié [hier]. On a eu soin de faire recouvrir les volumes pour qu’ils fussent en bon état. Nous avons l’honneur d’être très parfaitement,
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 6 janvier 1783
Messieurs,
Nous allons répondre catégoriquement à votre dernière du 31 que nous sommes au désespoir que notre négligence vous ait fait perdre toutes vos pratiques. Ce n’a pas été nos intentions. Pour y remédier, vous prions très instamment de ne plus rien nous adresser, d’autant plus que par notre nouvelle société, nous ne voulons plus faire de commerce illicite, qui nous expose tous les jours à des réprimandes et à des sottises de ceux que nous avons cherché à obliger.
M. de Neuchâtel En Suisse
Lyon, le 20 mai 1780
Messieurs,
Lyon, MM. Revol et compagnie
Neuchâtel, le 12 janvier 1780
Messieurs,
Par adresse de M. Meuron et Philipin de Saint-Sulpice, nous vous envoyons huit balles contenant différents volumes de l’Encyclopédie dont le détail vous est donné d’autre part. C’est pour rendre à Messieurs Duplain et compagnie trente et un exemplaires qu’ils nous ont envoyés de trop, et en conséquence, vous en exigerez s’il vous plaît les frais. Voici l’explication de la liste d’autre part.
Messieurs de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 9 janvier 1780
Messieurs,
Le silence dans lequel nous sommes restés jusqu’à présent sans répondre aux chères vôtres provient de ce que notre sieur Revol, lui seul chargé de vos affaires, est en voyage depuis un mois du côté de Bayonne, mais espérons que dans peu il sera de retour et qu’il aura l’honneur de vous écrire.
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 14 octobre 1779
Messieurs,
M. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 30 juin 1779
Messieurs,
M. de la Société de Neuchâtel
Lyon, le 2 août 1778
Messieurs,
Il nous semble par votre lettre que vous n’étiez pas entièrement satisfaits de ce que nous avons dit à M. Favarger votre voyageur. Cependant, il ne nous serait pas possible de vous donner d’autres renseignements.
M. de la Société a Neufchâtel
Lyon, le 5 juillet 1778
Messieurs,
Sitôt la réception de vos missives, courrier pour courrier, nous avons écrit à Messieurs Meuron et Philipin. Il y a apparence qu’ils ne vous ont pas bien entendu, puisqu’ils n’ont pas profité de l’occasion des envois qu’avez faits pour M. Duplain.
M. de la Société typographique de Neuchâtel en Suisse
Lyon, le 26 juin 1778
Messieurs,
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