Meuron / Philippin, MM. (Saint-Sulpice) (commissionnaires)

117. Revol, 18 avril 1783, Lyon

Société Typographique de Neuchâtel

Lyon, le 18 avril 1783

Monsieur,

Toutes les tracasseries qu’on a faites à notre Sieur Revol lors de la saisie de ces balles lui ont occasionné une maladie très dangereuse de laquelle il n’est pas encore rétablit. Sitôt qu’il sera en état de vous répondre, il satisfera en plein à tous vos souhaits. L’exemplaire pour M. [Gravier] a été expédié [hier]. On a eu soin de faire recouvrir les volumes pour qu’ils fussent en bon état. Nous avons l’honneur d’être très parfaitement,

113. Revol, 6 janvier 1783, Lyon

MM. de Neuchâtel

Lyon, le 6 janvier 1783

Messieurs,

Nous allons répondre catégoriquement à votre dernière du 31 que nous sommes au désespoir que notre négligence vous ait fait perdre toutes vos pratiques. Ce n’a pas été nos intentions. Pour y remédier, vous prions très instamment de ne plus rien nous adresser, d’autant plus que par notre nouvelle société, nous ne voulons plus faire de commerce illicite, qui nous expose tous les jours à des réprimandes et à des sottises de ceux que nous avons cherché à obliger.

37. STN à Revol, 12 janvier 1780, Neuchâtel

Lyon, MM. Revol et compagnie

Neuchâtel, le 12 janvier 1780

Messieurs,

Par adresse de M. Meuron et Philipin de Saint-Sulpice, nous vous envoyons huit balles contenant différents volumes de l’Encyclopédie dont le détail vous est donné d’autre part. C’est pour rendre à Messieurs Duplain et compagnie trente et un exemplaires qu’ils nous ont envoyés de trop, et en conséquence, vous en exigerez s’il vous plaît les frais. Voici l’explication de la liste d’autre part.

36. Revol (Paulin), 9 janvier 1780, Lyon

Messieurs de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 9 janvier 1780

Messieurs,

Le silence dans lequel nous sommes restés jusqu’à présent sans répondre aux chères vôtres provient de ce que notre sieur Revol, lui seul chargé de vos affaires, est en voyage depuis un mois du côté de Bayonne, mais espérons que dans peu il sera de retour et qu’il aura l’honneur de vous écrire.

5. Revol, 2 août 1778, Lyon

M. de la Société de Neuchâtel

Lyon, le 2 août 1778

                  Messieurs,

Il nous semble par votre lettre que vous n’étiez pas entièrement satisfaits de ce que nous avons dit à M. Favarger votre voyageur. Cependant, il ne nous serait pas possible de vous donner d’autres renseignements.

4. Revol, 5 juillet 1778, Lyon

M. de la Société a Neufchâtel

Lyon, le 5 juillet 1778

                  Messieurs,

Sitôt la réception de vos missives, courrier pour courrier, nous avons écrit à Messieurs Meuron et Philipin. Il y a apparence qu’ils ne vous ont pas bien entendu, puisqu’ils n’ont pas profité de l’occasion des envois qu’avez faits pour M. Duplain.

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