89. Revol, 17 juillet 1781, Lyon
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 17 juillet 1781
Messieurs,
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 17 juillet 1781
Messieurs,
MM. de la Société À Neuchâtel
Lyon, le 8 juin 1781
Messieurs,
Nous venons de recevoir une lettre de Madame de Lanoue à Versailles qui nous prévient que ne lui avez point envoyé la destination de la balle BL 81. Il est très important de la lui donner de suite, attendu que les balles ne sont pas en sûreté dans ses magasins, où l’on fait souvent des visites.
Messieurs de la Société Typographique de Neuchâtel
Lyon, le 1er octobre 1774
Messieurs,
Messieurs de la Société Typographique de Neuchâtel en Suisse
Lyon, le 8 septembre 1773
Messieurs,
Messieurs de la Société Typographique de Neuchâtel
Lyon, le 26 août 1773
Messieurs,
Beaucaire, le 20 juillet 1773
Messieurs,
Clairvaux (Jura)
18 novembre 1772 – 1er octobre 1774
Messieurs de la Société Typographique de Neuchâtel en Suisse
Clairvaux, le 18 novembre 1772
Messieurs,
Nîmes ce 6 août 1788
Messieurs,
Ayant reçu la dernière que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire en foire de Beaucaire, je n’ai pu m’assurer de la remise de deux balles que le commissionnaire vous a fait passer ci-après mon retour à Nîmes. Or vous pouvez dès ma lettre reçue le réclamer de chez M. Dufard de Genève s’il ne vous les a fait expédier et lui rembourser les frais.
[Nîm]es ce 11 juillet 1775
Monsieur,
Je reçois votre envoi du 22 mai au moment que je me dispose à partir pour la foire de Beaucaire. Je vous aurais fait passer mes effets en paiement si j’eusse pu reconnaître les articles, mais ça sera à mon retour. Si vous jugiez bon de m’envoyer en attendant les articles de la note ci-jointe, nous les comprendrions dans les mêmes effets que je dois vous envoyer en paiement du précédent. J’ose me flatter de votre agrément à ma proposition, ayant l’honneur de me dire très parfaitement,
Monsieur,
Gaude to the STN, October 18, 1774
Messieurs de la Société, Neuchâtel Nîmes, le 18 octobre 1774
Messieurs
Nous avons eu l’honneur de vous mander que le changement de magasins, le mariage de notre S. Gaude fils, la foire de Beaucaire et celle d’Alain, ne nous avaient pas laissé respirer un moment. Nous vérifierons votre compte au premier jour et nous le solderons de suite moitié livres, moitié argent. C’est sur quoi vous pourrez compter.