115. Revol, 15 février 1783, Lyon
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 15 février 1783
Messieurs,
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 15 février 1783
Messieurs,
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 6 janvier 1783
Messieurs,
Nous allons répondre catégoriquement à votre dernière du 31 que nous sommes au désespoir que notre négligence vous ait fait perdre toutes vos pratiques. Ce n’a pas été nos intentions. Pour y remédier, vous prions très instamment de ne plus rien nous adresser, d’autant plus que par notre nouvelle société, nous ne voulons plus faire de commerce illicite, qui nous expose tous les jours à des réprimandes et à des sottises de ceux que nous avons cherché à obliger.
MM. de Neuchâtel
Lyon, le 24 mai 1780
Messieurs,
MM. de Neuchâtel À Paris
Lyon, le 19 mai 1780
Messieurs,
Nous nous empressons de répondre à votre lettre qui nous afflige beaucoup d’apprendre que vos balles ont été arrêtées à Paris, malgré les précautions qu’aviez prises. Mais il y a des événements malheureux qu’on ne peut prévoir. Le voiturier, en passant par Dijon, ne s’est point arrêté. Il y a passé debout, et conséquemment, nos amis n’ont pu le voir. Il faut espérer que M. Panckoucke vous rendra service dans cette affaire, qu’elles vous seront rendues.
Messieurs de la Société À Paris
Lyon, le 24 avril 1780
Messieurs,
Loudun, le 6 mai 1778
Messieurs,
Loudun, le 17 février 1778
Messieurs,
Besançon 29 juin 1781
MM. de la Société
de Neuchâtel
Messieurs
J'ai reçu l'honneur de la votre du 12 courant par laquelle vous m'envoyez le compte de ce que je vous dois. Ci-après le redressement que j'en ai fait. Je vous prie de faire mettre vos livres de conformité à mon compte [si] juste.
1780:
6 avril un envoy de………………………. L. 54-4-
29 avril un dit de…………………………...L.52-16-
Loudun le 14 mai 1777
Messieurs,