73. Faivre, 14 août 1784, Pontarlier
Pontarlier, le 14 août 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 14 août 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 23 janvier 1785
Monsieur,
Pontarlier, le 14 octobre 1784
Messieurs,
Monsieur Michaud, que j’ai vu aux Verrières dernièrement, m’a dit n’avoir rien reçu de vous des L. 39-8- pour le passage des balles de Madame veuve Charmet. J’ai voulu prendre un petit paquet pour Madame Charmet. Le sieur Michaud n’a pas voulu me le livrer qu’il n’ait une lettre de vous de la destination des quatre petits ballots qu’il a reçus dernièrement.
Pontarlier, le 14 août 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 22 juillet 1784
Messieurs,
Je vous dirai par la présente que toutes vos balles sont entrées. Heureusement une partie sont expédiées. Les autres partiront par les premières voitures. Voilà tout à l’heure quinze jours que nous n’avons point eu de voiture ni pour Lyon ni pour Dijon, mais il y en arrive demain. Je profiterai du retour pour expédier.
Pontarlier, le 15 avril 1784
Messieurs,
Je vous renvoie la lettre sur Monsieur Muratori. Je vous prie de l’adresser à quelqu’un de vos correspondants à Turin avec l’incluse ci-jointe. C’est une somme qui m’est due très légitimement et qui vous sera bien payée ; c’est une obligation faite par main de notaire payable le 16 du courant, échue demain.
Pontarlier, le 21 juillet 1783
Messieurs,
En attendant que j’envoie ma voiture chercher les balles de L’Ecole du bonheur, je vous prie de m’expédier une balle qui contiendra 250 [ ?] exemplaires, et de garder les autres chez vous jusqu’à mon arrivée à Neuchâtel. Vous adresserez la dite balle chez Monsieur Michaud commissionnaire aux Verrières Suisse.
Pontarlier, le 27 janvier 1772
Monsieur,
De retour depuis hier soir, j’ai trouvé l’honneur de la vôtre où j’y réponds pour vous dire qu’à mon absence, j’ai prié Monsieur Jannet de m’expédier deux balles que j’avais chez lui. Il m’a expédié le tout ensemble. En outre se trouve la dite balle que vous demandez qui est aux Frambourg, qui entrera avec les miennes sous la permission que je viens de demander à Monsieur l’intendant. Ayez un peu de patience au sujet de Pontarlier, je vous la renverrai.
Pontarlier, le 22 juillet 1771
Messieurs,
Je suis allé hier au Frambourg pour réclamer votre balle. Je n’ai pas trouvé Monsieur Petit : il était allé à trois lieues de là qui est à Jougne ; j’y retournerai demain matin.
Vous pouvez faire partir votre balle libry en deux paquets libry à l’adresse de Monsieur Jannet aux Verrières Suisse et je le[s] ferai prendre là ou je le[s] ferai passer à votre disposition sans acquit à caution.
Je serai à Neuchâtel dans peu de jour où j’aurai le plaisir de vous y voir et nous parlerons des affaires.
Pontarlier, le 13 juillet 1771
Monsieur,