Les Verrières

84. Faivre, 27 décembre 1784, Pontarlier

Pontarlier, le 27 décembre 1784

Messieurs,

Je n’ai pas pu répondre à l’honneur de votre dernière pour vous dire que Monsieur Mauvelin doit avoir reçu ses balles depuis longtemps. J’étais à Besançon cette semaine dernière. Monsieur Pechey, qui les a chargées pour Troyes, m’a dit les avoir expédiées et arrivées à leurs destinations. Elles ont fait L. 21-0-2 de frais, rendues de Neuchâtel aux Verrières. Vous connaissez le passage.

76. Faivre, 14 octobre 1784, Pontarlier

Pontarlier, le 14 octobre 1784

Messieurs,

Monsieur Michaud, que j’ai vu aux Verrières dernièrement, m’a dit n’avoir rien reçu de vous des L. 39-8- pour le passage des balles de Madame veuve Charmet. J’ai voulu prendre un petit paquet pour Madame Charmet. Le sieur Michaud n’a pas voulu me le livrer qu’il n’ait une lettre de vous de la destination des quatre petits ballots qu’il a reçus dernièrement.

75. Faivre, 4 octobre 1784, Pontarlier

Pontarlier, le 4 octobre 1784

Messieurs,

Jusqu’à présent, vos balles sont encore aux Verrières chez le sieur Michaud que j’ai prié par une lettre de me les faire monter sur la montagne où mes porteurs les iront prendre. Je n’ai reçu aucune nouvelle de lui ; je le crois en campagne. Je me transporterai chez lui cette semaine pour diriger tout cela. Je pense que vous avez été payé de Turin. Si cela n’est pas, je vous prie de récrire à votre correspondant de faire finir cette affaire.

63. Faivre, 12 avril 1784, Pontarlier

Pontarlier, le 12 avril 1784

Messieurs,

Je vous envoie une lettre de change sur Monsieur Muratori. Je ne peux pas vous désigner le montant de ce qui m’est dû. Vous avez affaire à un honnête homme ; je veux bien vous payer, ainsi je vous prie d’adresser la dite lettre à un de vos correspondants pour en recevoir payement. Je pars pour deux jours. Après ce voyage, je vais travailler à votre satisfaction. Les balles qui sont aux Verrières seront ici cette semaine.

59. Faivre, 23 février 1783 [1784], Pontarlier

Pontarlier, le 23 février 1783 [1784]

Messieurs,

Fait pour répondre à l’honneur de la vôtre, je vous fais mes remerciements à votre attention pour moi. Je remettrai demain ou après demain à Monsieur Gloriot une partie de votre somme. J’attends mon épouse qui a des fonds et qui a été retenue par les neiges. Sans cela j’aurais déjà remis à Monsieur Gloriot de l’argent.

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