55. Faivre, 30 octobre 1783, Pontarlier
Pontarlier, le 30 octobre 1783
Messieurs,
Pontarlier, le 30 octobre 1783
Messieurs,
Pontarlier, le 26 juillet 1783
Messieurs,
Puisque vous ne pouvez pas trouver de voiture pour me faire passer cette balle en droiture [en voiture ?] aux Verrières, vous pouvez l’expédier comme vous jugerez à propos, sur la fin de la semaine qui vient. Je serai à Neuchâtel où je chargerai moi-même les autres. En attendant le plaisir de vous voir, je suis très sincèrement, Messieurs, votre très humble serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 21 juillet 1783
Messieurs,
En attendant que j’envoie ma voiture chercher les balles de L’Ecole du bonheur, je vous prie de m’expédier une balle qui contiendra 250 [ ?] exemplaires, et de garder les autres chez vous jusqu’à mon arrivée à Neuchâtel. Vous adresserez la dite balle chez Monsieur Michaud commissionnaire aux Verrières Suisse.
Pontarlier, le 28 décembre 1772
Messieurs,
Pontarlier, le 27 juillet 1772
Monsieur,
Je vous prie de dire à vos messieurs de la Société de me faire passer chez Monsieur Jannet aux Verrières Suisse les six tomes 8 et 9 des Questions et que le montant en sera payé aux personnes à qui vous ordonnerez de tirer le paiement à l’expédition faite.
Pontarlier, le 6 juillet 1772
Messieurs,
Je suis fort surpris que vous ne vouliez pas entrer en compensation de mes débours et de l’argent que vous avez tiré pour mon compte de Monsieur Chenebier, mais vos lettres que j’ai me serviront toujours de justification, qui de plus est [sic], les poursuites que vous ordonnez de faire contre moi ne m’effrayent point, ayant bonne justice pour moi comme pour vous. C’est ce qu’a l’honneur de de [sic] vous dire celui qui se dit avec considération, Messieurs, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre
Besançon, le 19 janvier 1772
Monsieur,
Pontarlier, 12 octobre 1771
Monsieur,
Au moment que j’ai reçu l’honneur de la vôtre, mon mari venait de partir pour les Verrières au sujet de vos ballots, et comme il ne sera de retour que ce soir, c’est pourquoi je vous donne avis qu’il sera jeudi au plus tard à Neuchâtel et il vous donnera réponse sur ce que vous lui faites la grâce de lui marquer.
J’ai l’honneur d’être avec considération, Monsieur, votre très humble servante Faivre née Antoine.
Mes respects à Madame Fauche et à tout ce qui vous appartient.
Pontarlier, le 3 octobre 1771
Monsieur,
Je réponds à l’honneur de la vôtre pour vous dire que je ferai passer lundi par le courrier une peau de veau comme vous la demandez.
Pontarlier, le 30 septembre 1771
Monsieur,
Pour répondre à l’honneur de la vôtre, je vous dirai que la Ferme exige de moi que toutes les balles libry que j’expédierai pour les provinces étrangères seront visitées aux bureaux de cette ville pour que déclaration soit faite sur la lettre de voiture des livres qui sont dans les balles. C’est à quoi je ne veux pas consentir, c’est le sujet pour lequel ils m’ont arrêté cette balle à Salins, mais je trouverai d’autres moyens pour cela.