M. de Neuchâtel
Lyon, le 4 juin 1782
Messieurs,
Continuellement des reproches et si peu modérés, cela devient ennuyeux. Ci-inclus, deux lettres qui vous prouveront si nous avons des torts. Après qu’en aurez fait lecture, il vous plaira nous les renvoyer.
M. de la Société de Neuchâtel
Lyon, le 3 avril 1782
Messieurs,
Nous ne pouvons pas vous accuser réception lorsque nous n’avons rien reçu, ce qui est le motif de ce silence. Par la présente, vous accusons la réception et l’expédition des suivantes : PL 62, 63, 64, 72 ; BP 53 ; R 57 ; VS 58 ; W 73, 74, 75. Toutes ces balles nous sont parvenues ensemble, quoique nous ayez avisé du départ par 3 lettres différentes du 21 février, 28 février et 9 mars. Celle PL 97 ne nous est pas encore parvenue, ni celle R 87.
MM. de la Société De Neuchâtel
Lyon, le 16 juillet 1780
Messieurs, Nous avons reçu seulement hier, 15 courant, ensemble 8 balles de votre envoi, à savoir :
{LL 200
{FP 201
Loudun, le 19 septembre 1778
Messieurs,
Loudun, le 22 juillet 1778
Messieurs,
Loudun 11 mars 1777
Messieurs,
Loudun, 15 novembre 1776
Messieurs,
Ma dernière lettre 16 octobre a croisé la vôtre du 13. Préalablement, voici le tableau de notre compte, où je rappelle toutes vos factures.
Je vous dois facture du premier juillet 1775 L.80-12-0
Celle du 7 novembre…………………………574-12-0_
655-4-0
Rabais convenus et réglés suivant ma lettre
Loudun, le 17 janvier 1774
Messieurs,
Loudun le 6 janvier 1774
Messieurs,
M. Malherbe l’aîné, étant en cette ville à vendre mes livres, m’a parlé de vous et communiqué vos catalogues. Après les avoir examinés, j’en ai tiré le mémoire ci-joint. Si vous voulez le remplir au mieux, et m’en faire l’expédition, ce sera un commencement d’affaires qui pourra être suivi de plus. Je ne veux courir aucun risque. S’il y en avait à l’entrée et sortie à Lyon, j’aimerais mieux m’en passer, ainsi je laisse ceux à votre prévoyance.
Loudun le 5 janvier 1773
Messieurs,