MM. de la Société de Neuchâtel

Lyon, le 3 mai 1781

Messieurs,

MM. de Neuchâtel En Suisse

Messieurs,

MM. de Neuchâtel

Lyon, le 20 mars 1781      

Messieurs,

Nous sommes sans réponse à la lettre que vous avons écrite le 9 du courant. Il sera désagréable pour nous de laisser protester vos traites, si nous ne faîtes passer des fonds. L’espèce est très rare dans Lyon, en égard aux emprunts qui se sont fait par l’État. Ainsi nous serions dans l’impossibilité, malgré notre bonne envie à vous obliger, à pouvoir faire autrement. Vous prions nous éviter ce désagrément. Vous en êtes à temps. Nous sommes tout à vous et vos affectionnés serviteurs,

MM. de Neuchâtel

Lyon, le 9 mars 1781

Messieurs,

MM. de Neuchâtel

Lyon, le 2 mars 1781

Messieurs,

Ci-joint la note que nous demandez. Vous savez que nous avez fait remettre onze exemplaires par Monsieur Duplain, et qu’en avons reçu 50 incomplets, ensemble 61 exemplaires qu’avions à votre disposition.

                  La traite que vous a fournie notre ami Chaurou de L.170-2-0 est bonne et valable. si nous l’envoyez acquittée, vous en créditerons du montant.

MM. de la Société De Neuchâtel

Lyon, le 16 février 1781

Messieurs,

MM de la Société À Neuchâtel

Lyon, le 8 février 1781

Messieurs,

Nous nous empressons à vous aviser qu’on vient de nous délivrer la balle des cinquante Dictionnaire de l’Académie qu’on nous avait saisi. Vous en ferons de suite expédition par le premier voiturier.

MM. de Neuchâtel

Lyon, le 31 janvier 1781

Messieurs,

Nous n’avons eu jusqu’à présent aucun avis que M. Fauche ait fait un échange avec Garrigan, ni même aucune balle provenant de ces deux maisons. S’il nous en arrivait quelqu’une, nous en profiterions pour vous tirer de cette affaire, qui ne peut être que malheureuse ; plus pour Garrigan que pour vous, car cet homme est dans tout son tort.

MM. de Neuchâtel

Lyon, le 21 janvier 1781

Messieurs,

MM de la Société À Neuchâtel

Lyon, le 5 janvier 1781

Messieurs,