54. Revol, 19 mai 1780, Lyon
M. de Neuchâtel
Lyon, le 19 mai 1780
Messieurs,
M. de Neuchâtel
Lyon, le 19 mai 1780
Messieurs,
Chartes, le 30 avril 1780
Monsieur,
MM. de Neuchâtel À Paris
Lyon, le 19 mai 1780
Messieurs,
Nous nous empressons de répondre à votre lettre qui nous afflige beaucoup d’apprendre que vos balles ont été arrêtées à Paris, malgré les précautions qu’aviez prises. Mais il y a des événements malheureux qu’on ne peut prévoir. Le voiturier, en passant par Dijon, ne s’est point arrêté. Il y a passé debout, et conséquemment, nos amis n’ont pu le voir. Il faut espérer que M. Panckoucke vous rendra service dans cette affaire, qu’elles vous seront rendues.
MM. de Neuchâtel À Paris
Lyon, le 8 mai 1780
Messieurs,
MM. de Neuchâtel
Lyon, le premier mai 1780
Messieurs,
Messieurs de la Société À Paris
Lyon, le 28 avril 1780
Messieurs,
L’honneur de la chère vôtre du 23 est pour nous des plus satisfaisantes. La chaleur que nous avons mis dans nos dernières ne parvenait que des reproches que nous faisiez dans vos missives, où nos trouvions bien étrange que, mettant tous nos soins à vous servir avec zèle et avec attachement, vous vouliez nous rendre responsables de la faute des autres et d’un événement que n’avons pu prévoir.
Messieurs de la Société À Paris
Lyon, le 24 avril 1780
Messieurs,
Lyon, le 17 avril 1780
Messieurs,
Nous recevons l’honneur de la chère vôtre. Nous ferons le nécessaire à la balle KC 124 sitôt qu’elle nous sera parvenue, ainsi qu’à celle IR 99.
Depuis 8 jours, nous avons reçu la caisse vin SI n°1. Comme nous étions sans avis, nous avons écrit à M. Michel de nous en donner la destination. Ainsi, Messieurs, à la première occasion, vous en ferons expédition. Si ce Michel vous doit, vous ferez bien de vous faire payer de suite, en vin, car, pour de l’argent, il n’y a pas grand fonds.
Messieurs de Neuchâtel En Suisse
Lyon, le 6 avril 1780
Messieurs,
Messieurs de la Société A Paris
Lyon, le 26 mars 1780
Messieurs,