18. Lair to the STN, July 19, 1777
Messieurs de la Société Blois, le 19 juillet 1777
typographique
Messieurs,
Messieurs de la Société Blois, le 19 juillet 1777
typographique
Messieurs,
Messiuers de la Société Blois, le 15 mai 1777
typographique
Messieurs,
Messieurs de la société typographique
de Neuchatel à Paris
Messieurs
M. Ostervald
Monsieur,
Messieurs de la Société typographique Blois, le 21 septembre 1774
de Neuchatel
Messieurs,
On m’a envoyé en campagne l’honneur de la vôtre 13 courant à la construction d’un pressoir que j’y fais faire et préparer tout le nécessaire pour les vendanges qui sont ouvertes ici mais que je ne commencerai que dans le courant de la semaine prochaine. Nous espérons bonne [de ---] année et une qualité dans le vin qui en facilitera la vente.
Messieurs de la Société typographique
de Neuchatel. Blois, le 15 juin 1774
Messieurs,
Messieurs de la Société typographique de
Neuchatel Blois, le 18 avril 1774
Messieurs,
Nîmes, ce 18 mai 1788
Messieurs,
Suivant vos ordres, il fut expédié il y a 15 à 18 jours deux balles marquées S.T. No 19 et 20 contenant les articles de la facture que vous verrez en l’autre part à l’adresse de M. Dufart libraire imprimeur de Genève pour le garder à la disposition de M. Louvard de Lunel. Veuillez sans qu’il soit question de moi écrire à cette maison pour vous assurer si elles lui sont parvenues et m’en prévenir afin de lui faire donner des ordres pour vous les adresser contre vos frais qui vous plaira lui rembourser.
Nîmes ce 20 février 1785
Messieurs,
A l’époque de mon interdiction, à laquelle je dois tous mes malheurs, je devais en capital 30 000 livres qui joint joint [sic] à l’intérêt du 5 pourcent que j’ai supporté pour le retard de quatre années se portaient à 36 000 livres, dont le principal a été payé et ne suis arriéré que de l’objet des intérêts qui me gênent dans le moment mais que je paierai moyennant du temps que j’ai déjà obtenu de la majeure partie de mes correspondants à qui je dois.
Messieurs de la Société typographique de Neuchâtel
Nîmes, ce 29 janvier 1788
Messieurs,
Suivant vos désirs, je viens d’écrire à M. Revol et compagnie commissionnaire de Lyon pour l’engager à recevoir vos balles et se charger de vous le faire parvenir ainsi que celle que vous devez m’expédier sans événements. Dès la réception de sa réponse vous recevrez le contenu si elle est relative à nos intérêts respectifs ainsi que j’ai lieu de le croire étant très parfaitement, Messieurs,
Votre très humble serviteur