38. 415 Mossy to the STN, June 25 1783
Marseille le 25 juin 1783
MM de la Société typographique
Messieurs,
Marseille le 25 juin 1783
MM de la Société typographique
Messieurs,
A Marseille le 12 mars 1777
MM. de la Société typographique de Neuchatel
Messieurs,
Votre balle expediée le 8 [novembre] dernier m'est enfin parvenue à la fin de février. Je ne comprends pas la cause de ce retardement. Il faut oublier que l'on vous a demandé des livres. N'y a-t-il pas moyen d'abréger cette langueur. Elle ne doit provenir que de Neuchatel à Lyon.
Votre envoi monte, suivant votre facture, à deux cent quatre livres dix-neuf sous
A Marseille le 30 octobre 1776
MM. de la Société typographique de Neuchatel
Messieurs,
Quoique ma lettre du 10 juillet dernier ait resté sans réponse, je ne doute point que vous ne l'ayez reçue. Cette lettre contenait un relevé de notre compte courant, suivant lequel je vous étais débiteur pour solde, y compris l'envoi du 26 mars que je n'ai reçu que le 30 juillet dernier de…………………………………………………………...L. 112-1-3
Depuis lors j'ai payé pour les frais de cette balle de Neuchatel à Lyon, ainsi que nous
A Marseille le 30 juin 1773
MM. de la Société typographique de Neuchatel
Messieurs,
J'ai recu les deux gracieuses lettre dont vous m'avez honoré des 10 et 17 juillet courant. Par la 1ère je vois un envoi de L.122 mais je ne vois pas un article essentiel que vous n'y avez pas mis, ce sont les suites des mémoires de l'acadème de Berne, dont j'avais principalement besoin.
Il y a encore quelques autres articles que j'avais demandés et que je ne vois pas dans votre facture.
A Marseille le 30 juin 1773
MM. de la société typographique de Neuchatel
Messieurs,
Besançon ce 7 mai 1788
Messieurs
Besançon ce 23 septembre 1787
Messieurs
Je viens d'adresser à Monsieur Pion, commissionnaire à Pontarlier une petite caisse contenant:
6 exemplaires Collection des mémoires de Monsieur le Comte de [Sanois], dont je vous prie de me procurer du débit.
Cet article n'est point pour mon compte, il est à celui de la personne pour qui ils ont été fait, et je désirerais lui placer le nombre qu'il m'[a remis].
Besançon ce 24 avril 1787
Monsieur
J'ai reçu les deux prospectus que vous avez eu la complaisance de m'envoyer. Celui qui concerne la collection de pièces intéressantes de la vie de [Freverie] le grand aura je crois du débit en France. Je ne vous fais pas de demande à ce moment, parce que l'ouvrage n'est pas fini, et que le nombre que j'en prendrai dans le premier moment ne sera pas considérable, ce sera le nombre de la garnison que nous aurons alors qui me décidera.
Besançon ce 12 avril 1785
Messieurs
Faite moi la grâce d eme faire savoir par premier courrier, le lieu qu'habite actuellement M. Bernard votre commis.
Besançon ce 17 novembre 1784
Messieurs
J'ai fait partir mardi dernier le ballot venant de Paris de M. Poinçot à M. Pion commissionnaire à Pontarlier [avec] prière de vous le faire passer aussi promptement qui lui sera possible, j'ai fait suivre en renforcement la somme de L. 16 que j'ai payé de Paris ici.