73. Faivre, 14 août 1784, Pontarlier
Pontarlier, le 14 août 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 14 août 1784
Messieurs,
Pontarlier, le 10 octobre 1783
Messieurs,
Ignace Faivre was the only bookseller in Pontarlier, the first French town across the border with Switzerland and the main hub for shipments that arrived from Neuchâtel. With a population of only 3,300, Pontarlier did not provide much of a market for books. Faivre supported himself in large part by serving as a smuggler and expediter for the STN and other Swiss publishers.
Besançon, le 5 novembre 1785
Monsieur,
A la survenue, je recevais une lettre du François Desauges, libraire à Paris, qui m’annonce avoir eu avis de la Société qu’on lui fera passer par votre canal un ou plusieurs ballots. Comme ce dernier me dit ne pas vous connaître, il me charge de vous livrer le nom. Prière de m’expédier le plus promptement possible ce que vous recevrez pour son compte venant de la Société. J’espère que vous ne tarderez pas à me faire le premier la voie en ayant reçu avis.
Pontarlier, le 18 novembre 1784
Messieurs,
Messieurs,
Vos deux balles, l’une marquée V.C.N°69 est partie ce matin pour Madame veuve Charmet, l’autre balle marquée A.P.N°80 pour Reims en Champagne partira aussi cette semaine, passera par Besançon. Si j’avais examiné votre lettre, elle serait partie aussi aujourd’hui. Le retard ne sera pas long. Madame Charmet aura sa balle à ce soir ou demain aussitôt que votre lettre reçue.
Pontarlier, le 17 juillet 1783
Messieurs [de la] Société typographique
Messieurs,
Pour répondre à l’honneur de la vôtre, il faudra me faire 4 balles de L’Ecole du bonheur. Je vous dirai par le courrier de samedi ou de lundi comme[nt] il faudra les expédier. Peut-être que je ferai partir ma voiture pour les aller chercher.
Pontarlier, le 4 avril 1772
Monsieur,
Pontarlier, le 13 septembre 1771
Monsieur,
Suivant l’avis que vous m’avez donné, j’ai fait partir deux hommes pour prendre ces balles. Ils n’ont rien trouvé chez Montandon ni chez Jannet. Il m’a fallu leur payer leur journée à chacun vingt-cinq sols.
Messieurs de la Société typographique Blois, le 15 novembre 1773
de Neuchâtel
Messieurs,
Je reçois à ce moment l’honneur de la vôtre 10 courant. Ayant vendu hier mon vin vieux et nouveau (car celui de l’année dernière me restait encore) à des marchands normands qui tirent beaucoup d’ici dans les années telles que celle-ci, où les pommes ont manqué chez eux, ils