Versailles

6. 167 Charmet à la STN, 17 janvier 1780, Besançon

Besançon le 17 janvier 1780

MM. de la Société

Neuchâtel

Messieurs:

Il m'a été remis par Monsieur Lepagnez cadet, libraire, mon confrère, la lettre que vous lui avez adressée le 9 courant, avec invitation de vous répondre aux différentes propositions que vous y faites.  Vous ne devez douter nullement de l'envie de l'un et de l'autre à saisir toujours avec empressementles occasions à pouvoir vous obliger; et à mon particulier j'ai déjà eu l'honneur de vous le dire plusieurs fois.

28. Pavie à la STN, 30 septembre 1784

Pavie à la STN, 30 septembre 1784

                                                                              À La Rochelle, le 30 septembre 1784

Messieurs,

Je n’ai pas répondu plus tôt à l’honneur de la vôtre du 6 avril dernier croyant apprendre de jour en jour la liberté de l’introduction des livres étrangers en France sans qu’ils passent à la chambre syndicale à Paris, mais il y a lieu de penser que toutes les tentatives qu’on a faites, n’ont pas réussi.

83. Faivre, 28 novembre 1784, Pontarlier

Pontarlier, le 28 novembre 1784

[page manquante, ms 196]

[…] par Besançon adressé à Monsieur Pechey commissionnaire, avec ordre d’une prompte expédition. Elle est accompagnée d’un acquit à caution dont je recommande le prompt retour. En attendant le courrier de samedi pour vous donner satisfaction à votre demande, j’ai l’honneur d’être avec une parfaite estime, Messieurs, votre très humble serviteur.

Faivre

15. Faivre, 28 septembre 1771, Pontarlier

Pontarlier, le 28 septembre 1771

Monsieur,

Ne soyez point surpris si je ne peux vous répondre au jour sur votre dernière. La raison est que je combats contre la Ferme qui m’a arrêté une balle libry à Salins avec votre paquet pour Dijon, pour n’avoir pas fait la déclaration des livres ; mais je crois sur apparence en avoir main levée cette semaine. C’est cette balle qui est destinée pour Versailles. Je vous écrirai plus amplement la poste prochaine. Je suis en attendant cet avantage, Monsieur, votre très humble obéissant serviteur.

Faivre

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