25. Faivre, Pontarlier, le 4 avril 1772
Pontarlier, le 4 avril 1772
Monsieur,
Pontarlier, le 4 avril 1772
Monsieur,
Pontarlier, le 20 février 1772
Monsieur,
Je suis surpris de n’avoir point reçu de vous ce paquet que vous m’avez annoncé. Si vous ne voulez pas me l’envoyer, renvoyez-moi la somme des quarante-huit livres. Je désirerais même savoir si les derniers tomes des Questions sont finis ; ce qu’attendant de vous je suis avec considération, Monsieur, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre
Trois voyages que j’ai fait faire au sujet de ce paquet.
Pontarlier, le 17 février 1772
Monsieur,
Je m’attendais au jour à recevoir de vos nouvelles pour ce petit ballot dont vous m’avez annoncé le départ depuis quinze jours, et que vous en avez reçu le montant qui est L. 48. Je vous prie donc par le retour de ce courrier [de] m’en donner des nouvelles, et me dire pour quand le tome 8 et 9 des Questions sera fini et suis, en attendant l’honneur de la vôtre, avec une parfaite considération, Monsieur, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 3 février 1772
Monsieur,
Je viens de recevoir avis de Monsieur Chenebier qu’il vous avait fait passer la somme de L. 48 de France pour la lettre que je vous ai donnée à tirer sur lui. Je serai charmé de savoir si vous ne pourriez pas me faire un rabais sur ces 2 vol. 8° à en prendre un certain nombre et vous les payer comptant, ce que j’attends de vous et suis avec considération, Monsieur, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre.
Pontarlier, le 27 janvier 1772
Monsieur,
De retour depuis hier soir, j’ai trouvé l’honneur de la vôtre où j’y réponds pour vous dire qu’à mon absence, j’ai prié Monsieur Jannet de m’expédier deux balles que j’avais chez lui. Il m’a expédié le tout ensemble. En outre se trouve la dite balle que vous demandez qui est aux Frambourg, qui entrera avec les miennes sous la permission que je viens de demander à Monsieur l’intendant. Ayez un peu de patience au sujet de Pontarlier, je vous la renverrai.
Pontarlier, 12 octobre 1771
Monsieur,
Au moment que j’ai reçu l’honneur de la vôtre, mon mari venait de partir pour les Verrières au sujet de vos ballots, et comme il ne sera de retour que ce soir, c’est pourquoi je vous donne avis qu’il sera jeudi au plus tard à Neuchâtel et il vous donnera réponse sur ce que vous lui faites la grâce de lui marquer.
J’ai l’honneur d’être avec considération, Monsieur, votre très humble servante Faivre née Antoine.
Mes respects à Madame Fauche et à tout ce qui vous appartient.
Pontarlier, le 3 octobre 1771
Monsieur,
Je réponds à l’honneur de la vôtre pour vous dire que je ferai passer lundi par le courrier une peau de veau comme vous la demandez.
Pontarlier, le 30 septembre 1771
Monsieur,
Pour répondre à l’honneur de la vôtre, je vous dirai que la Ferme exige de moi que toutes les balles libry que j’expédierai pour les provinces étrangères seront visitées aux bureaux de cette ville pour que déclaration soit faite sur la lettre de voiture des livres qui sont dans les balles. C’est à quoi je ne veux pas consentir, c’est le sujet pour lequel ils m’ont arrêté cette balle à Salins, mais je trouverai d’autres moyens pour cela.
Pontarlier, le 28 septembre 1771
Monsieur,
Ne soyez point surpris si je ne peux vous répondre au jour sur votre dernière. La raison est que je combats contre la Ferme qui m’a arrêté une balle libry à Salins avec votre paquet pour Dijon, pour n’avoir pas fait la déclaration des livres ; mais je crois sur apparence en avoir main levée cette semaine. C’est cette balle qui est destinée pour Versailles. Je vous écrirai plus amplement la poste prochaine. Je suis en attendant cet avantage, Monsieur, votre très humble obéissant serviteur.
Faivre
Pontarlier, le 13 septembre 1771
Monsieur,
Suivant l’avis que vous m’avez donné, j’ai fait partir deux hommes pour prendre ces balles. Ils n’ont rien trouvé chez Montandon ni chez Jannet. Il m’a fallu leur payer leur journée à chacun vingt-cinq sols.